Jour unique

Par Hugues Cormier, Le 25 juin 2008
Catégorisé dans Non classé
4 commentaires

25 juin 2008:

Jour unique.

Post-scriptum, le 26 juin 2008:

Jour unique (bis).

Par ailleurs, vous êtes invitée/invité à prendre connaissance -via l'onglet «archives»-du commentaire formulé par Emilie (# 11/12) à propos de l'écrit du 20 juin et à ainsi poursuivre la conversation à votre convenance. Voici ce commentaire:

«Wounds inflicted by words CAN be healed, but not with words. Words are processed by the Human, whereas healing occurs in the space of Being. Who is wounded? When there is no 'me' to be injured, i.e., no separation, then suffering is understood to be but an illusion. Emilie»

Rappels:

Pour commenter un texte  en archive, utilisez le «formulaire» du dernier écrit publié (onglet: «écrits») et mentionnez à quel écrit vous faites référence.

Pour vous abonner: «écrits» puis «Abonnement aux écrits».

(C'est tout pour aujourd'hui…À vous de jouer en français, in english,…).

Commentaires

  1. Hugues Cormier dit :
    27 juin 2008 à 0 h 00 min

    Comme vous dites si vrai Hoda qu’il importe de redire à nouveau:«…un cheminement de longue haleine,prédit l’auteur des « quatre accords toltèques » et il conseille de commencer par adopter une attitude de patience envers soi-même».

    Répondre
  2. Hugues Cormier dit :
    26 juin 2008 à 0 h 00 min

    Dans le même sens, le premier des quatre accords tolthèques:
    «Que votre parole soit impeccable».

    Répondre
  3. hoda haddad dit :
    26 juin 2008 à 0 h 00 min

    Dure réalisation que d’appliquer l’écologie de la parole quand des situations nous poussent dans le sens opposé!Nouis sommes maîtres par nos paroles et par l’énérgie,constuctive ou déstructrice, qu’elles générent.Mesurer l’impacte de ses mots et les filtrer est un cheminement de longue haleine,prédit l’auteur des « quatre accords toltèques » et il conseille de commencer par adopter une attitude de patience envers soi-même.

    Répondre
  4. hoda haddad dit :
    25 juin 2008 à 0 h 00 min

    Bonjour madame Emilie.C’est peut-être l’effet dévastateur de certaines paroles qui nous fait oublier qu’elles peuvent aider à cicatriser là où la blessure est vive.La parole n’est -elle pas un lien puissant et un outil d’exploration indispensable en psychanalyse?Jésus est raconté comme utilisant la force de la parole pour guérir et liberer.Mais faut-il être récéptif pour laisser agir les mots.

    Répondre

Ajouter un commentaire

Your email is never published nor shared. Required fields are marked *

*
*