Le nouveau Colisée enfin confirmé!…Est-ce positif pour le bien commun? / Ici aussi, trouvez une définition du bien commun / Common good: A Definition and Is a New Stadium in Quebec City Positive Considering This Way of Defining Common Good?

Définition du bien commun:

«Le bien commun le plus précieux, c’est le fait d’agir en commun pour dépasser ensemble ce qui fait obstacle au progrès de tous et à l’épanouissement de chacun.»

Tiré de Bien commun recherché (2004) page 33 par Françoise David qui citait Jean-Paul Jouary dans la revue Virtualités , vol.3, no 4, avril-mai 1997, p. 33.

Common Good Definition:

«The most precious common good, it is the fact of acting in common to surpass together what stops progress for all and fulfilment of each of one.» (Hugues Cormier’s translation).

From Bien commun recherché (2004) page 33 by Françoise David citing Jean-Paul Jouary in the journal Virtualités , vol.3, no 4, april-may 1997, p. 33.

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À première vue, à mon avis, le projet de nouveau Colisée à Québec est positif pour le bien commun (à ce moment-ci ie époque 2011-2015).

Hugues Cormier

SVP votre point de vue ? Bon ou mal pour le bien commun le projet de nouveau Colisée??

What do you think? Good or Bad the new Colisée in Quebec City??

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Hockey Québec

Le nouveau Colisée enfin confirmé!

Mise à jour le jeudi 10 février 2011 à 15 h 27

Québec l’aura, son nouveau Colisée. Jeudi, la Ville de Québec et le gouvernement Charest ont confirmé la nouvelle, annoncée par Radio-Canada mardi.

Les deux parties ont donné les détails du montage financier retenu pour le projet d’amphithéâtre multifonctionnel dans la Vieille Capitale.

Le provincial a indiqué qu’il financera la moitié des coûts de construction de l’amphithéâtre, jusqu’à concurrence de 200 millions de dollars. La Ville de Québec, pour sa part, déboursera 187 millions. Le groupe « J’ai ma place » fournira les 13 millions manquants pour arriver à la facture totale de 400 millions.

La construction serait amorcée en 2013 pour être achevée en septembre 2015.

« L’est du Québec, et pas seulement la capitale nationale, aura un outil important pour assurer son développement. », a déclaré le premier ministre Jean Charest.

Tout sourire, le maire Labeaume a affirmé que la construction commencerait dans les prochains mois. Sans mentionner l’emplacement exact, il a indiqué qu’il se situerait « au carrefour de Limoilou et Vanier pour revitaliser le quartier ».

Porte ouverte au fédéral, réserves pour le privé

Aucun représentant du gouvernement fédéral n’était présent lors de l’annonce. Un peu plus tôt dans la journée, le ministre provincial des Finances, Raymond Bachand, ainsi que le ministre responsable de la région de Québec, Sam Hamad, ont souligné que le fédéral était toujours invité à investir dans le projet.

« On avait toujours souhaité dès le début avoir le fédéral avec nous. On a toujours dit ça, on n’a pas changé. L’annonce aujourd’hui ne signifie pas, d’aucune façon, qu’il n’y a plus de place pour le fédéral », a affirmé le ministre Hamad.

Mercredi, la ministre fédérale responsable de la région de Québec, Josée Verner, a souligné que la participation d’Ottawa dans le projet d’amphithéâtre n’était pas écartée, mais que le gouvernement attendait toujours que la Ville lui fournisse un plan d’affaires qui inclut une participation importante du privé.

Cette participation du privé, elle ne sera pas dans les coûts de construction de l’édifice. Si privé il y a, ce sera dans la gestion de l’édifice, une formule déjà utilisée par Quebecor le mois dernier.

« La ville négocie avec le privé pour des investissements, a précisé M. Labeaume. Mais non, ces entreprises n’investiront pas dans la construction de l’amphithéâtre, c’est impossible d’avoir une rentabilité dans l’état actuel des choses. »

Les fonds privés sont aussi conditionnels au retour d’une équipe de la Ligue nationale à Québec.

« Les offres (du privé) les plus payantes sont conditionnelles à l’arrivée d’une équipe de la LNH, a indiqué M. Labeaume. Pas de financement privé sans club, pas de club sans amphithéâtre. Nous prenons nos responsabilités et nous allons de l’avant. »

À ce sujet, le maire de Québec a ajouté qu’il contacterait le commissaire de la LNH, Gary Bettman, « dans les prochaines heures » pour lui annoncer la construction d’un amphithéâtre.

Le rêve de Marcel Aubut

Marcel Aubut

Photo: La Presse Canadienne /Rick Eglinton

Marcel Aubut

Marcel Aubut en avait fait une condition pour garder les Nordiques à Québec. On sait ce qui s’est passé.

Juste avant de partir pour Halifax, qui accueille les Jeux du Canada, le président du Comité olympique canadien a réagi à l’annonce.

« C’est une journée historique, mémorable. La ville de Québec mérite d’avoir un amphithéâtre, a-t-il dit d’entrée lors d’une conférence téléphonique, en rappelant qu’il avait travaillé à ce projet pendant quatre ans pour garder les Nordiques à Québec.

« Je souhaite qu’il y ait d’autres participants, on parle du fédéral, du privé. Il faut que ce soit l’affaire de tout le monde. Ça ouvre la porte à d’autres projets, comme une équipe de la Ligue nationale et les Jeux olympiques. »

Mais sur la participation d’investisseurs privés, il la souhaite d’une seule manière.

« Ma conception, c’est qu’un édifice public doit être remplacé par un édifice public. Je ne suis pas contre des investissements privés. Les risques de tout ce qui se passe à l’intérieur doivent être privés, une équipe de la LNH, c’est pas un grouvernement, c’est un risque privé, les performances de Lady Gaga ou de Phil Collins, ça c’est privé, a-t-il précisé.

« C’est un belle contribution, croit-il. Les risques du privé à l’intérieur vont amener des retombées économiques. C’est de l’argent avec le partenariat du privé qui va ramener de l’argent dans les coffres de la province et de la ville.

« Le commissaire Gary Bettman a dit qu’il ne voulait pas entendre parler de Québec tant qu’il n’y aurait pas un nouvel aréna. Cette condition pour examiner le transfert d’une équipe à Québec vient d’être levée », a ajouté Aubut.

Concernant le mutisme du gouvernement fédéral, il ne s’en formalise pas et se veut optimiste.

« Je suis d’accord de ne pas retarder le projet pour les autres projets qui vont suivre, de ne pas attendre une décision du fédéral, car il y a plein de facteurs politiques qui entrent en compte. J’ai bien confiance que M. Harper, quand l’opportunité sera là pour lui, va être de la partie », a-t-il conclu.

Commentaires

  1. hugues dit :

    QuébecNouvel amphithéâtre
    Enthousiasme et critiques à Québec
    Mise à jour le vendredi 11 février 2011 à 10 h 00

    Régis Labeaume et Jean Charest ont révélé le plan financier pour le nouvel amphithéâtre.

    Les réactions sont nombreuses à la suite de l’annonce de la construction d’un nouvel amphithéâtre à Québec. Certains s’en réjouissent, mais d’autres soulèvent des interrogations quant aux montants investis.

    La Ville et la province de Québec ont annoncé jeudi qu’elles contribueront à raison de 50 % chacune au financement de l’amphithéâtre de Québec, jusqu’à concurrence de 400 millions de dollars.

    La conseillère indépendante à l’Hôtel de Ville de Québec Ann Guérette estime que le maire fait porter un fardeau beaucoup trop lourd aux contribuables de Québec pour un équipement qui aura un impact régional.

    Ann Guérette tient le maire responsable de l’échec des négociations avec le gouvernement fédéral et avec d’autres partenaires qui auraient pu financer ce projet. Elle se demande pourquoi les autres municipalités près de Québec, notamment Lévis, Boischatel, Lac-Beauport ou Saint-Augustin-de-Desmaures, ne sont pas partenaires dans le projet. « Encore une fois, parce que notre maire, il s’est chicané avec tout ce monde-là. Il a insulté tout ce monde. Ça devient un peu gênant d’aller cogner à leur porte pour leur demander de contribuer au projet », soutient Mme Guérette.

    Le conseiller municipal Yvon Bussières

    Le conseiller indépendant Yvon Bussières croit pour sa part que la population doit être consultée étant donné le montant investi par la Ville de Québec. « Le référendum est le minimum qu’on doit tenir sur l’investissement avec les contribuables, parce qu’on parle de l’argent des contribuables ici », dit-il.

    Le maire de Québec, Régis Labeaume, a indiqué jeudi qu’il songe à consulter la population sur le montant investi, mais affirme qu’il ne tiendra pas de référendum.

    Du côté des employés municipaux, les policiers trouvent paradoxale l’attitude de l’administration Labeaume. Le président du syndicat, Bernard Lerhé, soutient que l’administration tient un autre discours sur ses capacités de payer lors des séances d’arbitrage. « La Ville de Québec est venue dire lors de ces séances d’arbitrage qu’elle n’avait pas d’argent, qu’elle avait même dû emprunter suite au décès de la mairesse Boucher pour tenir des élections. Comment il [le maire] explique ce virage à 180 degrés? », demande M. Lerhé.

    Les policiers de Québec négocient depuis cinq ans le renouvellement de leur convention collective.

    Réactions à l’Assemblée nationale

    À l’Assemblée nationale jeudi, les politiciens se sont montrés généralement favorables au projet, mais ont formulé certaines critiques.

    Le député de Québec solidaire, Amir Khadir

    Pour le député de Québec solidaire, Amir Khadir, le nouveau Colisée ne doit pas être un cadeau pour une éventuelle équipe de la Ligue nationale de hockey. Il s’interroge par ailleurs sur les priorités du gouvernement provincial. « Les priorités du gouvernement ne semblent pas nécessairement toujours très cohérentes, alors qu’il manque de l’argent pour équilibrer le budget, il manque de l’argent pour répondre aux attentes, par exemple, urgentes de nos procureurs », soulève M. Khadir.

    La députée du Parti québécois Agnès Maltais critique pour sa part l’absence du gouvernement fédéral dans le dossier. « Bien sûr qu’il faut qu’Ottawa s’implique. Mon argent est là-bas. J’en paye des taxes, vous en payez, tout le monde en paye des taxes et des impôts à Ottawa », souligne la députée péquiste.

    À Ottawa, le Bloc québécois et le Parti libéral du Canada ont aussi tour à tour critiqué l’absence du gouvernement fédéral à la conférence de presse à Québec. « Vous avez huit députés conservateurs qui ont carrément manqué à leur tâche. On doit faire partie de la solution », a déclaré le député libéral Denis Coderre.

    Ottawa attend le plan d’affaires

    Le gouvernement du Québec et de la Ville de Québec ont présenté un montage financier pour la construction de l’amphithéâtre qui exclut pour le moment la contribution du gouvernement fédéral. Cette contribution est toutefois toujours espérée.

    Interrogée sur l’absence de financement fédéral dans le projet d’amphithéâtre, la ministre fédérale responsable de la région de Québec, Josée Verner, a répété qu’Ottawa ne se prononcerait pas avant d’avoir le plan d’affaires attendu. Josée Verner a indiqué avoir discuté avec le maire de Québec, qui lui a promis de lui remettre le document prochainement.

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