Suggestions for Daily Practice / Suggestions de pratique quotidienne by / par Jon Kabat-Zinn
»»»: http://www.mindfulnesscds.com/meditate_daily.pdf
Comments? Commentaires? Thanks, Merci, Hugues Cormier
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Pourquoi les gens heureux vivent-ils plus longtemps ? Jordi Quoidbach, Dunod, 223 pages, 2010. Why happy people live longer?
»»»: http://www.radio-canada.ca/emissions/par_4_chemins/2010-2011/chronique.asp?idChronique=136283
Bande audio avec Jacques Languirand: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/CBF/Par4Chemins201102262006_1.asx
Quelques éléments retenus par «votre serviteur», Hugues Cormier:…Pratiquer différentes activités inductrices de bonheur, importance de varier ces activités telles que mini-méditations, tenir un «journal de gratitude», écrire sur ses souffrances, faire des «dons pro-sociaux», cultiver un certain optimisme, savourer l’instant présent… Y aller selon votre personnalité, vos goûts. Éviter des répétitions routinières étant donné que dès lors elles se sont même révélées contre-productives.
«Free English adaptation» by Hugues Cormier:… Practicing activities that induce happiness, importance of variety, importance of avoiding routine. Activities like mini-meditation, writing about gratitude, writing about what makes you suffer, cultivate optimism, pro-social donation, relishing the present moment… Choosing what you like, you love to be…
Comments? SVP vos commentaires. Merci, Thanks, Hugues Cormier
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Ajout, dimanche 6 mars 2011: À noter que le texte qui suit est une première version d’une «réplique» au texte de Pierre Brien paru dans La Presse vendredi 5 mars, page A 19.
À terme et avec la patience requise, oui à un nationalisme québécois inducteur d’un fédéralisme canadien moral, poly-national.
With time and patience, yes to a Quebec Nationalism Inductive of a Moral and Multi-National Canadian Federalism (sorry no English version yet of the French text below but English comments certainly hoped for and welcome).
À terme et avec la patience requise, oui à un nationalisme québécois inducteur d’un fédéralisme canadien moral, poly-national soit au moins quadri-national: amérindien, québécois, anglocanadien et transnational canadien.
Sans faire le déni que renouveler le fédéralisme de façon à ce que le Québec adhère à la Constitution canadienne n’est pas pour demain et même pas pour un avenir proche, je propose ici un vecteur de force patient mais déterminé et inspiré d’un certain nationalisme québécois «à la François Legault» voir: http://www.coalitionavenir.org/2011/03/02/politique/35-legault3.php, il est vital pour le Québec selon moi que naisse à terme un fédéralisme canadien moral, poly-national soit de fait au moins quadri-national puisque constitué de quatre nations formellement reconnues, protégées et promues. Prenant en compte que chacunes – l’amérindienne, la québécoise, l’anglocanadienne et la transnationale canadienne (soit la canadienne dans son ensemble) -sont - nonobstant la reconnaissance, la protection et la promotion de leurs majorités respectives – qui sont chacunes, écrivais-je, plurielles c’est à dire pluri-ethnique, pluri-lingue, de foi ou de religion ou de position spirituelle plurielles.
À terme et avec la patience requise, un tel type de «fédéralisme moral, quadri-national» au Canada serait susceptible, à mon avis, d’induire un projet canadien, une société canadienne plus juste, plus féconde pour une bonne santé globale et une bonne santé sociétale, plus féconde de bien commun et d’écologie humaine, une société exemplaire dans un monde actuel fait de fédéralismes parfois fermés ou dominateurs, insuffisamment ouverts aux nations minoritaires comme l’amérindienne et la québécoise au Canada actuel, la catalane et la basque en Espagne, l’écossaise et la galloise en Grande-Bretagne, la tibétaine et «je ne sais laquelle» en Chine, et caetera… Et pourquoi pas, inspirer une juste solution aux nations en conflits pérennes comme la palestinienne et l’israélienne.
C’est pourquoi je m’implique comme bénévole dans des groupes non partisans comme l’Institut du Nouveau Monde, l’Idée fédérale, Amnistie internationale, la Coalition pour l’avenir du Québec, Médecins du monde Canada, Centraide, la Maison Jean Monbourquette (aide aux personnes endeuillées) et le CECI (Haiti).
C’est pourquoi il faut aussi - à mon avis – qu’une majorité – et non une totalité – de Québécois délaissent le Bloc québécois – un parti qui a été et qui est encore pourtant très utile, sinon indispensable au bien-être de la nation québécoise et ultimement au bien-être de la nation canadienne dans son ensemble - pour considérer s’engager dans des partis fédéralistes canadiens afin de les faire évoluer, de les «convertir» à ce nouveau projet canadien, à ce nouveau fédéralisme, à ce fédéralisme moral, au moins quadri-national, à un fédéralisme digne du 21ième siècle!
À mon avis, et nonobstant le travail titanesque qui doit être accompli au Québec tel que dûment et brillamment proposé dans les quatre priorités de François Legault et associées et associés, dans un tel projet canadien du XXIième siècle, il est et sera possible de concilier la reconnaissance et la promotion des différentes nations du corps canadien…et la préservation de l’équité économique entre les dix provinces et les trois territoires du Nord canadien, contribuant ainsi au bien commun.
Bien commun, compris selon deux définitions: Bien commun, c’est-à-dire – en paraphrasant René Lévesque et sa question: «Est-ce bon pour Madame Tartempion de la rue Mentana» – je vous demande: est-ce bon, à terme, un tel projet canadien du XXIième siècle, selon vous, pour Mrs Louise Smith from Donnelly Street in Richmond, British Columbia, l’ado Bradley-Elijah Coon-Come de la rue Arvida à Malieutenash (pardon, je suis corrigé par Manon Barbeau qui m’écrit: Maliotenam ou Mashteuiasht (mais pas un mélange des deux) ;-) M. ; merci Manon) et pour Madame Makonnen de la rue Gerry-Boulet à Montréal.
Ou encore votre avis selon une autre définition «plus sérieuse, plus intellectuelle» d’un certain bien commun: «Le bien commun le plus précieux, c’est le fait d’agir en commun pour dépasser ensemble ce qui fait obstacle au progrès de tous et à l’épanouissement de chacun.» De Jean-Paul Jouary dans la revue Virtualités , vol.3, no 4, avril-mai 1997, p. 33 d’ailleurs cité par Françoise David dans Bien commun recherché (2004) p. 33. Merci d’y aller de votre commentaire.
Hugues Cormier